Quand je suis arrivé à Nelson, mon premier réflexe à été de cherche un centre équestre. J’ai trouvé mon bonheur chez une jolie jeune femme blonde. Le nom de son centre équestre me donnait envie de boire. Smoothness Hill. Smoothie vous voyez le rapprochement ? J’ai choisis d’entraîner un cheval tout les deux mois afin de changer de monture. Je commence donc par monter un cheval prénommé Madness. Physiquement ce cheval est parfait et ce que l’on m’a dit de lui par rapport à son caractère m’enchante aussi. Son nom me faisais étrangement pensé à une chanson du célèbre groupe Muse. Quand je rentre dans les écuries avec mon petit chariot d’accessoire tel que ma boite de pansage et ma selle, j’entend les bruits singuliers des écuries. L’étalon se trouve devant moi. Dans un box carré et très lumineux. Je passe ma main sur le chanfrein de l’alezan qui semble apprécié se geste. «  Bonjour bonhomme, je m’occupe de toi pour deux mois. » J’ouvre doucement la porte du box en demandant au cheval de reculer. Le box est propre, un peu trop à mon goût. C’est vrai que j’aime tout ce qui est désordonné alors … En parlant de désordre, quand j’ouvre ma boite de pansage acheté hier, je me rend compte qu’il faudrait certainement faire un peu de ménage à l’intérieur. Je déteste le ménage. Encore plus que les araignées. Je commence à brosser Madness qui doit trouver les picots de mon étrille très utile car il s’endort presque sous les mouvements circulaires de ma brosse. Je passe ensuite un rapide coup de bouchon et je commence à curer les pieds de l’alezan qui s’appuie littéralement sur moi. Je brosse les beaux crins de mon nouveau protégé qui semble bien calme. « Voilà, pansage terminé ! » J’empoigne mon tapis et mon amortisseur achetés hier et je les places sur le dos de l’animal qui me regarde comme pour surveiller mes gestes. Je pose ma nouvelle selle – dont je suis très fière – sur le dos de Madness puis je le sangle. L’étalon ne réagit même pas. J’entrouvre la bouche de l’équidé pour y glisser le mort qu’on m’a donné. Le bridon est le même que le miens, je ferme la muserolle et la sous gorge et je pose les protections en cuir sur les membres de l’alezan et nous somme prêt  pour partir à l’aventure ! Car j’ai décidé d’emmener mon cheval faire une petite promenade. Un fois ma bombe en équilibre sur ma tête, je monte en selle et je me dirige vers la forêt.

♦ Forêt.

Quand je rentre Mad’ dans son box, il sembla impatient de que lui enlève son harnachement. Je le laisse lâcher le mort pour lui enlever le filet et je le désangle rapidement. Je lui enlève les protections et je le laisse se rouler dans la paille. Il se relève pleins de paille. Je m’affaire donc à lui enlever tous les brins de pailles qui sont enfouis dans sa crinière et dans sa queue. Je le brosse ensuite à rebrousse poils afin que l’alezan sèche un peu. Je le laisse avec une petite friandise et je repars en espérant pouvoir revenir bientôt.