Ça fait tellement du bien d’aimer les gens qu’on aime que ça finit par faire mal.

Nelson pour moi, c'est tout nouveau, je suis née à Calgary. Mes parents tenaient un super marché là bas. J'ai donc toujours assez bien vécue sans pour autant rouler sur l'or. Mes parents ont été très peu présent durant mes premières années de vie. Ma mère préférait travailler tandis que mon père était sans cesse en voyage. Alors je ne les ai jamais vraiment considéré comme mes parents. J'ai connu beaucoup de nourrices qui me répétait souvent que même si mes parents n'étaient pas là, ils m'aimaient beaucoup.

Plus tard, j'ai eu un petit frère. Ce dernier n'était pas exactement comme je l'aurais voulus. Il était envahissant et tous les gens disaient toujours que c'était un beau petit garçon. Foutaise ! Il avais de l’eczéma autours de la bouche ! Nos relations ont toujours été compliquée, du moins jusqu'à mes quinze ans où nous avons commencer à dialoguer sans nous cracher des insultes à longueur de journée. Aujourd'hui, mon frère et moi somme assez lié et ceci certainement à cause de notre passion commune.

Notre passion commune c'est l'équitation. J'ai commencer à monter quand j'avais cinq ans. Je me souvient que je m'étais caché parce que je pleurais de joie et peut-être que je stressais un peu aussi. Le premier poney sur lequel je suis monté ce nommais Pollux. J'ai tout de suite accroché à ce sport. J'ai eu de nombreux chevaux favoris, mais celui qui m'a le plus marqué était un selle français gris du nom de Rafis. Je l'ai monté pendant un an et puis d'un seul coup, je me suis retrouvé sur un autre cheval. Je n'ai jamais demandé d'explication. Plus tard, on m'a appris qu'il était mort d'une épidémie qui avait emporté Pollux par la même occasion. Après avoir appris ceci j'ai demandé à changer de club. J'ai donc monté dans une écurie de propriétaire qui m'employais pour monter ses chevaux. J'y suis rester jusqu'à mon départ pour Nelson.

Je suis partis de Calgary pour mes études de photographe. Bien que les paysages de ma ville natale soit magnifiques, j'avais envie de bouger, de partir à l'aventure. Quand je suis arrivée dans cette ville, la première chose que j'ai chercher, c'est un centre équestre. J'ai trouver refuge à Smoothness Hill. Il ne reste plus qu'à me faire des amis & peut-être à trouver un copain. Une première relation amoureuse à 20 ans ce serait bien !